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Comment fut défundu le Grande Couronné de Nancy …
How the Grand Crown of Nancy was defended.
Lithograph with hand colouring through stencils. Publisher: Tolmer & Co. 1914
Given by Sophie Gurney 1994
No. 32 from the series La Grande Guerre .
The French caption with English translation:
COMMENT FUT DÉFENDU LE GRAND COURONNÉ DE NANCY / Un bataillon d’infanterie française, appuyé de 2 batteries d’artillerie, résist héroîquement à 4 régiments bavarois.
Le matin du 6 Septembre 1914 les troupes allemandes se sont massées dans la forêt de Facq. Un simple batallion d’infanterie française, sous l’héroîsme conduite du commandent MONTLEBERT, et appuyé de deux batteries d’artillerie sont groupés dans le village de Sainte-Genevière. Vers la fin du jour les troupes allemandes débouchent du bois de Facq, soutenues par un feu d’artillerie qui arrosait les alentours du cimetière. Nos troupes résistent et luttent avec âpreté : une de nos batteries s’est tue. On téléphone au commandent MONTLEBERT de se replier, mais il refuse et déclare qu’il ne se repliera que sur un ordre écrit. La maison où se tenait le commandant s’effondre sous les obus et il roule à terre : blessé légèrement, il regrette de ne pas avoir été tué sur le coup car il est maintainent contraint à faire sonner la retraite… Retraite qu quelque heures. Le 7 au soir, deux compagnies françaises réoccupaient Sainte-Genevière et l’ennemi démoralisé se repliait pour ne plus revenir.
How the Grand Crown of Nancy was defended. A French infantry battalion, supported by two artillery batteries, heroically resist four Bavarian regiments
On the morning of 6 September 1914, German troops amassed in the forest of Facq. A simple French Infantry battalion under the heroism led by Montlebert and supported by two artillery batteries, were grouped in the village of Sainte-Genevieve. Toward the end of the day German troops came out of the Facq wood, supported by artillery fire that sprayed around the cemetery. Our troops resist and fight fiercely, one of our batteries fell silent. We phone the commander Montlebert to retreat, but he refuses and declares that he will only retire upon a written order. The house where the commander stood collapses under the shells and he rolled on the ground. Slightly wounded, he regretted not being killed instantly, because he is now being forced to sound a retreat. But the retreat was short-lived; a few hours later on the evening of the 7th, two French companies reoccupied St-Geneviere and the demoralised enemy left and never came back.
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